Dans le service aux patients nous essayons que le patient découvre la douleur comme participation active l'action rédemptrice de Jésus. Depuis le charisme de l'Œuvre nous cherchons se lier avec les patients depuis la fraternité, le prière et le Parole de Dieu. Nous trouvons, même s'il paraît un paradoxe, qui est dans cet être défavorisé, où Dieu on révèle à l'homme, en rendant certain une fois de plus que «le Seigneur a choisi ce qui est faibles du monde, pour confondre aux forts et puissants».

Notre service est maintenu depuis les petites dimensions, par la Providence du Seigneur, à auquel nous avons le privilège de voir dans chaque patient, et par le puissant discours d'intercession de deux sœurs de tâche qu'ont partagé beaucoup d'années cette belle mission avec nous: Sabine Martínez, qui jouit déjà du Royaume qu'elle a prêché, et Cristina María de la Croix, qui déjà consacrée carmélite livre quotidiennement sa vie par ce service qu'elle a tant aimé.

Elles sont des témoins de cette histoire qui montre la redevance du Seigneur dans notre vie et la victoire de la croix sur le monde.

Il n'est pas habituel qu'on voit des résultats concrets et rapides de de comment le Père fait grandir nos semences humbles, mais de de tant dans tant nous il donne un certain fait que nous il encourage à suivre en avant et à faire l'éloge de lui par sa présence concrète et salvatrice.

… Nous l'avons connue en 1987, on appelait Sandra. Était une douce petite brune de 16 années avec un petit mouchoir dans la tête pour déguiser les traces de la chimiothérapie et un cancer dans l'os de sa jambe qui avançait irrémédiablement. Nous nous approchons timidement au principe, en essayant de vaincre une clôture qui le descreimiento de la mère et la douleur naturelle par la situation nous avait interposées.

L'Esprit a fait entre le groupe, Sandra et sa famille une petite amitié; il nous reconnaissait par nos noms et jusqu'nous arrivions "d'occasion" quand ils avaient besoin de quelque chose, encore hors des heures du service.

La poitrine n'entrait pas dans des raisons et cela lui était impossible de découvrir à Dieu dans cette douleur. Nous seulement pouvions respecter leur position, la comprendre et prier.

Nous décidons de se mettre nous d'accord et de prier avec toutes nos forces santé physique, mais les plans du Seigneur étaient très supérieurs à aux le nôtre. Il voulait guérir l'intérieur et transformer le cœur inclusivement en nous.

Nous entrons comme employés et nous sortons servis, en faisant vérité un des ordres du service d'hôpital, où chaque patient nous dit: «Il partage mes souffrances même si tu ne puis pas m'enlever la douleur, venez avec moi. Me manque un geste humain et gratuit qui me fait sentir quelqu'un et pas quelque chose ou un cas intéressant. Et quand tu auras fait tout ceci n'oubliez pas me remercier».

Peu à peu nous nous sommes rendus compte que Jésus vivait dans le cœur de Sandra et par le biais d'elle il nous montrait la vérité qui nous rend livres.

• Il nous montrait Jésus dans la foi. Nous il comptait qu'il croyait que Dieu était présent dans cette douleur et que cette souffrance faisait l'objet d'une conversion pour elle et sa famille.

• Il nous montrait Jésus dans la patience. Un jour où sa bouche était toute blessée, nous serrait les mains et entre des larmes priait en silence avec nous, jamais un il ne se plaint.

• Il nous montrait Jésus dans son prière personnel. Aux pires moments, le Seigneurie Jésus était rendu encore présent et demandait à les siens qui se tairaient avec elle parce qu'il voulait être uni à notre prière.

• Il nous montrait au Seigneur dans la croix. Il l'y avait déjà amputé sa jambe par 17 ans et il était préoccupé par le patient d'au côté (égal que Jésus dans la croix).

• Il nous montrait que le Seigneur donne la paix. Il cherchait pacifier à sa mère, il la déplaçait avec sa livraison et il la convertissait avec sa paix.

• Il nous montrait Jésus amour et humilité. Un mois avant de mourir, quand déjà ils l'avaient portée à leur maison d'ils brillent, il nous envoyait des lettres de remerciement et de mémoire à à chacun. Il pensait nous et il se mourait, égal que Jésus.

Ensuite je transcris celle que j'ai reçue:

Et comme fin, elle nous a montrées Jésus ressuscité. Paradoxalement, le jour de leur décès, redoutables dont la mère réagirait mauvais en nous voyant, nous avons été reçus par une femme transférée par la douleur mais réconciliée avec Jésus. C'était une femme ouverte au Parole de Dieu. Jésus ressuscité lui avait enseigné dans sa fille propre l'espoir de la résurrection. Il nous donnait l'impression que la mère voulait commencer à faire ce qui Sandra l'avait prôné avec sa vie. La mère voulait accepter, voulait nous aimer, voulait partager avec nous son repas le même jour de l'enterrement de sa fille, voulait trouver réconfort en Jésus.

Sans doute Sandra c'a été un ange que Dieu nous a donné sur le chemin de servir et qui nous a aussi converties à à nous et lequel nous disposons maintenant comme intercesseur directe dans ce service.

Comme dit la Mère Thérèse, nous sommes en contact avec le corps Jésus. Notre critère d'amour n'est pas celui de ses croyances, mais celui de ses nécessités. Tous sont le Christ sans exception et on ne peut pas trouver une dignité plus sublime dans les personnes.

Merci Seigneur parce que sos fidèle à ton Mot quand nous tu confirmeras que «il y a un plus grand bonheur en donner qu'en recevoir».