«Je consigne que ce qui est seule réponse il est que quand Dieu il me donne la grâce de m'abandonner en Lui, il rend plus pleine ma vie»

Cristo Vive Aleluia! N° 135
 

Aller de mission est d'être abandonné en Dieu

Depuis l'année 1986, pendant la première quinzaine de janvier, le Mouvement prend part des missions rurales qui effectue le diocèse de Rafaela avec une continuité de trois années dans chaque lieu. Pour pouvoir prendre part de d'elles, outre quelques aptitudes spéciales, on doit découvrir une vocation, parce que la mission n'est pas une activité, mais un style de vie.

Comment difficile il est de dessiner dans un rôle ce que le Seigneur a dessiné dans mon cœur dans seulement treize jours! Un frère avec lequel j'ai partagé les jours de mission dirait: "le sur archi débordante abondance de grâce de l'Amour de Dieu"; et je crois qu'encore ainsi, cette définition est petite pour l'amour avec lequel Jésus embrasse nos cœurs dans les jours de mission.

Que nous sommes allés de mission nous savons que nous pouvons se référer à la mission pour dehors (en ce qui concerne les frères visités) et à la mission pour à l'intérieur (en ce qui concerne la Communauté de missionnaires avec laquelle nous partageons la vie et en ce qui concerne l'œuvre que le Seigneur fait dans notre cœur).

Quant à la mission pour il est dehors d'avoir la possibilité de considérer Jésus dans la face de chaque frère. Et dans ceci, le considérer depuis les réalités les plus diverses:

• Un Jésus doliente, dans la face d'un certain frère qui souffrait la perte du cher être.

• Un Jésus amour, fait providence dans chaque galette, dans chaque tarro de lait, dans chaque petite bouteille de sucrerie apportée jusqu'à ce qui est petite école où nous nous logions.

• Un Jésus chargé des choses du Père, chaque fois que les frères venaient avec le cœur disposé à prier et à écouter la Parole de Dieu.

• Un Jésus enfant, Jésus jeune, Jésus vieux, Jésus famille.

• En fin, Jésus que nous avons pu découvrir, aimer et caresser dans chaque frère visité.

En ce qui concerne l'autre mission, il est de découvrir que dans notre cœur il y a déjà une base qui s'est formée depuis la vie communautaire, de prière et de rencontre avec la Parole de Dieu qui nous modèle. Il paraît incroyable mais depuis le premier jour, devant chaque situation nous nous surveillions déjà et savions ce que nous passions. Encore mémoire quand dans une certaine dynamique avec les frères de La Ifigenia ou nous partagions le dîner et nous apparaissait nous surveiller et les dire nous: veus-tu qui aide à préparer le mate? Et nous sortions pour la cuisine à la recherche d'un petit instant d'"intimité" pour nous partager la vie ou faire une prière. Le Seigneur a ouvert largement nos cœurs et il nous a faites recevoir depuis la simplicité, depuis ce qui est quotidien, la vie des frères.

C'est l'expérience de l'Alliance qui a estampillé avec le feu de l'Esprit nos liens qui encore aujourd'hui continuent à croître et dans beaucoup de cas ils sont des piliers fondamentaux de mon chemin.

Quand nous serons dans la mission, le diocèse et les mêmes frères visités se chargent de nos nécessités (repas, logement, matelas). Nous n'avons ce qui est petit repas de poitrine, ni par le programme de télévision favori, ni que parler du matelas du lit dans lequel nous aimons dormir. Bien que nous ne vivions pas dans des conditions inhospitalières, pas tout est couleur de rose: il fait beaucoup de chaleur, le réfrigérateur n'arrive pas à refroidir l'eau, lâches des randonnées, quelques qui autre reptile (toute une livraison pour moi), cuisiner dans la cuisine avec plafond de plaque avec de grands brûleurs qui accentuent encore plus la chaleur typique de janvier, la fatigue, que tous les jours augmente peu plus, de chers êtres qui sont tellement loin.

Dépassent aussi des expériences comme: "quand mo'il allait dormir une petite sièste, ils sont arrivés juste les visites", ou "nous avions tout armé pour une réunion communautaire et surprise!, davantage de visites"(loin de renier, nous étions là pour les servir). Cela fait qu'un doive mûrir le renoncement des projets eux-mêmes, ce pourquoi ils ont besoin de les autres.

La question est: Comment se peut-il qu'encore ainsi un est tellement immensément heureux? Comment se peut-il qui quand retournerons-nous à la vie quotidienne nous sentons-nous desinstallés dans le monde et la seule chose ce qui aspirons est de retourner aux jours de mission?

Il nage de ce que nous avons dans le monde —maison, amis, famille, livres, conforts— ils ont là. Tout paraît tellement éloigné que ni même nous considérons parfois la possibilité d'étonner. Nous sommes seulement, avec une petite bourse avec nos propriétés (très peu) et la Parole de Dieu. Alors, comment se peut-il qui sous ces conditions un est incalculablement heureux? Comment se peut-il qu'en ne connaissant pas à les autres missionnaires, seulement de voir, nous aimons-nous tant? Avant tout ceci je consigne que la seule réponse il est que quand Dieu me donnera la grâce de m'abandonner en Lui, il rend pleine ma vie.

La mission pour mo'a été la reddition physique de la vie mise au service du Royaume qui change notre conscience de baptisés, de notre identité de "pèlerins" dans le désert du monde en marchant vers la maison du Père Céleste.

Aujourd'hui, déjà dans ma maison, je consigne que je ne puis pas de moins que "vivre en mission" depuis l'annonce des Bonnes Nouvelles et depuis l'abandon plein et total en Dieu.

Jésus est l'Espoir que ce monde ne connaît pas

Vanina Spinosa
Junín
Cristo Vive Aleluia!
Nº 135, p. 10 (2002)

© Le Mouvement de la Parole de Dieu, une communauté pastorale catholique des disciples. Ce document a été au commencement édité par son Maison d'Édition du Parole de Dieu et peut être reproduit à condition que mentionner son origine.