La violence avait fait partie de sa vie, jusqu'à ce qu'elle ait connu à Dieu à travers le Processus Communautaire pour la Confirmation

Cristo Vive Aleluia! N° 134
 

Fier de être Son fils

Durant l'année 2000 je suis arrivé au Processus Communautaire pour la Confirmation (PCC) par la grâce de Dieu. En réalité c'était mon frère celui qui allait entrer faire le Processus. Les deux nous jouons football et ces jours le PCC commençait à aux 4 de l'après-midi et nous à cette même heure entrions jouer.

Un jour m'a dit qu'il le remplace dans le PCC et qu'il me fasse passer par lui qui allait être joué au football. J'ai accédé. Je suis resté ce samedi, m'il a ensuite demandé que moi reste un autre plus et un tiers, jusqu'à ce qu'il n'ait pas voulu aller plus et m'ai suivie.

J'avais besoin d'un groupe comme pour commencer une nouvelle vie. Tout avait commencé quand je suis entré à à ce qui est secondaire. Mes pères ont considéré qu'il était déjà grand et ils m'ont voulue donner les nouvelles qu'il était adopté. Je l'ai pris très mauvais, ai cassé des relations avec eux, ai commencé à prendre de l'alcool, a été une année rapprochée de prendre tous les jours, désespéré pour obtenir une boisson de bière ou de ce qui est.

C'a été une étape très dure, dans laquelle il me sentait seulement. Ma vie était la rue, vivait dans une place, en combattant avec tous. Il allait à un "boliche" et combattait à la sortie, il combattait dans le collège; si par la rue quelqu'un me surveillait il était déjà un motif de lutte, jusqu'à ce que je sois presque arrivé un jour à frapper à mon frère.

Faire le PCC il a été très dur, étaient déjà passé les six premiers mois et je ne me pouvais pas libérer de la violence.

Il a été pendant la seconde retraite, presqu'à la fin d'année, qui ai demandé Jésus de bénir mes mains pour qu'elles ne soient pas violentes. C'était la première fois qui lui demandait quelque chose. Je l'ai intérieurement fait, mais quand les autres garçons chantaient des chansons en haute voix, j'essayais aussi de le luil'être crié. Il avait besoin qu'il m'écoute, il était très désespéré.

Il est passé l'année et ils m'ont invitée à enseigner catéchèse à des garçons des quartiers avec manques pour les préparer pour la première communion. Ils ont ensuite invité aussi à un groupe missionnaire pour parcourir de petits peuples, et ainsi ai suivi avec mon chemin dans les groupes jusqu'à ce qu'ils aient invité à me servir pour la première fois dans une retraite.

Il y a déjà trois ans, et sans se rendre compte moi je découvre que mes mains, qui frappaient quelqu'un, servent aujourd'hui à aider d'autres.

Jésus est l'Espoir que ce monde ne connaît pas

Darío G.
Plottier - Neuquén
Cristo Vive Aleluia!
Nº 134, p. 8 (2002)

© Le Mouvement de la Parole de Dieu, une communauté pastorale catholique des disciples. Ce document a été au commencement édité par son Maison d'Édition du Parole de Dieu et peut être reproduit à condition que mentionner son origine.